Galerie Daniel Justet
FLORILÈGE.
Déjà photographiées à maintes reprises, il aura fallu choisir le bon moment de la journée pour les présenter différemment, saisir le passage d’une averse, saisir ce givre matinal avant que le soleil ne le fasse disparaître, ou y voir une prouesse de la nature pour remarquer leurs pétales tendrement enlacés.
SIMILITUDES.
RUELLES.
Du nord au sud, chez nous ou ailleurs, elles sont souvent étroites et tortueuses, les pavés usés par le temps et les passages. Accessibles uniquement à pied, on aime bien y déambuler afin d’admirer les façades garnies de plantes grimpantes, quelques pots de fleurs en guise de jardin. Les volets ouverts sur de belles fenêtres devant lesquelles on se penche un peu afin que notre regard de curieux passe sous les brise-bise pour découvrir de doux intérieurs où l’on aimerait se poser un moment.
CREUX DE L’ENFER THIERS.
QUELQUE PART EN AUBRAC.
Aubrac au seuil de l’hiver….
A cette saison, les pâturages ont pris leur couleur orangée,Les dernières vaches broutent ce qui reste en attendant de regagner leurs étables avant le grand froid qui se fait déjà sentir et la neige qui va tout blanchir.
Ce jour là, les ondulations infinies du panorama sont trèschangeantes à cause d’un épais brouillard qui se déplace à vive allure poussé par un vent violent.
La pluie incessante de ces derniers jours a fait gonfler les ruisseaux, rugir les cascades et transformer les fonds de vallées en lacs éphémères.
Quelques bosquets de conifères parsèment des tâches vertes qui viennent ponctuer l’horizon.
Ici et là, subsistent des burons abandonnés qui nous rappellent qu’autrefois, il y a eu une vie de dur labeur.